Qui dit nouvelle année, dit nouvelle chance de vivre des journées plus belles que l’année précédente. C’est donc tout naturellement que nous avons choisi de vous parler du dernier livre de Hélène Bonhomme. Sensible, lumineux, drôle et inspirant, ce livre adresse un message d’espoir à toutes les mamans qui veulent sortir de l’épuisement maternel.
C’est à travers les pages de son propre journal, qu’elle tient depuis la naissance de ses jumeaux il y a dix ans, que Hélène s’adresse aujourd’hui à toutes les mamans qui sont persuadées d’être « la pire mère du monde » et qui ne savent pas encore qu’en réalité elles sont fabuleuses et que ça change tout… à commencer par elle-même !
Parce qu’on ne peut pas sortir d’un burn-out professionnel, maternel ou les deux en un jour, mais que chaque jour on peut faire un tout petit pas pour sortir la tête de l’eau, ce livre elle l’a écrit avant tout pour elle-même, pour réaliser le chemin parcouru et garder une trace de cette décennie qui l’a transformée, mais aussi pour ses enfants.
De par son travail, Hélène a toujours beaucoup parlé d’épuisement, que ce soit à la presse, à la radio ou à la télé, mais ces pages elle les a écrites dans l’idée que ses enfants sachent que rien n’a jamais été leur faute, « parce qu’une page se tourne », à moins que ce ne soit tout le contraire comme elle l’écrit elle-même dans son journal.
Vous aussi, vous avez grand besoin d’une lecture feel-good pour bien démarrer l’année ? Ne cherchez plus. Que ta journée soit belle, c’est le livre à mettre en haut de votre wishlist perso (on a dit perso !).
Tout part du foyer

En 2017, Hélène a commencé à expédier certains passages de son journal ou ses « petites étoiles très matinales » comme elle les surnomme via le mail du matin des Fabuleuses au Foyer. Elle les ponctue d’un « chère Fabuleuse » pour s’adresser à elle-même comme à toutes les mamans qui la lisent et qui lui confient très vite « avoir l’impression de lire leur propre journal intime ».
Les Fabuleuses au Foyer, c’est le nom de la communauté en ligne de mamans dont s’occupe Hélène, un nom qu’elle a délibérément choisi parce que « toutes les mères sont dans leur foyer à un moment ou à un autre de la journée. Et même au bureau, le foyer nous poursuit lorsque nous nous demandons si nous avons bien glissé un goûter dans le cartable. »
Tout commence en fait alors qu’Hélène est en congé parental : « Jamais je n’aurais cru qu’aller au bureau pourrait me manquer à ce point, j’étais Tom Hanks sur son île : seule au monde, comme beaucoup de mères qui font l’expérience du foyer à cent pour cent. » Elle ressent alors le besoin de se rassurer, de comprendre qu’elle n’est pas la seule et pas seule !

Retrouver sa vibe intérieure
Quand on doit « être les meilleures au bureau, tout en étant les meilleures mères du monde », difficile de s’octroyer un peu de temps pour soi toute seule. C’est précisément là qu’interviennent Hélène et son journal, comme une petite pause, une« douceur imméritée » qui fait son chemin à l’intérieur du foyer « afin qu’à défaut d’être parfaite, ta journée soit belle. »
Pour se retrouver, retrouver la Fabuleuse qui sommeille en nous, il faut savoir s’éloigner des injonctions contradictoires qui nous poussent à l’autocritique et changer notre manière de penser et Hélène de nous rassurer : « une pensée est comme un petit sentier : plus on l’emprunte, plus il s’élargit, jusqu’à devenir une autoroute. »
À la façon de la Lettre volée d’Edgar Allan Poe, inutile d’explorer les cachettes les plus ingénieuses. La solution se trouve déjà en chaque maman qui jongle entre carrière et vie de famille : « Tu ne seras jamais assez présente au foyer. Tu ne seras jamais assez investie au bureau. Commence par un ajustement intérieur. Commence par croire que tu es juste assez. »
La loi de Murphy, on l’emmerde
Toutes les décisions que l’on prend s’accompagnent de leur « tartine de merde » particulière. Mais parfois on n’en a pas vraiment choisi le parfum. On ne l’a même pas vu venir. Un peu comme quand Hélène a vécu sa fausse couche, « une banale fausse couche du premier trimestre. Il paraît que c’est comme ça que se termine une grossesse sur quatre. »
Personne n’est à l’abri d’un croche-pied du destin, et c’est aussi ce qui rend la vie aussi belle malgré son lot d’épreuves difficiles. Des épreuves qui n’ont pas nécessairement que du mauvais. Voilà pourquoi Hélène nous explique aujourd’hui préférer faire la nuance : « aux termes bon et mauvais, je préfère désormais les termes agréable et désagréable ».
Prendre la vie du bon côté, ou devrais-je dire du côté agréable, c’est peut-être aussi se rendre compte à quel point la vie est conditionnelle. « Souris et sache », ce sont trois petits mots à noter sur un post-it, à coller « sur la porte du frigo ou sur le miroir dégueulasse de la salle de bains » pour sourire et se rappeler que finalement tout passe, et qu’une belle journée nous attend (sache donc qu'elle viendra).

Un regard sincère sur la maternité
Pour terminer, nous voulons dire un grand merci à l’équipe des Fabuleuses au Foyer qui nous a donné la chance de lire le livre de Hélène Bonhomme en avant-première.
La mission des Fabuleuses, c’est avant tout de porter un regard sincère sur la maternité à l’intérieur et à l’extérieur du foyer, une mission accomplie si vous voulez l’avis des Marketing Mums !
Si vous aussi, les aléas de votre vie de maman vous font parfois oublier la Fabuleuse qui est en vous, n’hésitez pas à vous inscrire gratuitement pour recevoir leur mail du matin, un petit remontant spécial maman à consommer sans modération. Et qui sait ? Peut-être prolongerez-vous l’expérience comme nous en vous offrant ce super nouveau livre 😉